
Si vous avez assisté à une épreuve majeure de surf en France ces 15 dernières années, vous avez peut-être aperçu les grosses lettres noires sur fond jaune MC BOX sur des pick-ups sillonnant la plage ou le dos de membres du staff. Cinq lettres donc, désignant une entreprise passée maître dans la réalisation d’événements sportifs ou culturels, fondée en 2008 par Stéphane Marteau. Et une réussite qui cristallise pour l’intéressé une quinzaine d’années précédentes à évoluer du côté d’Hossegor dans le milieu d’abord émergent, puis flamboyant du surf et de son business.
A notre micro, Stéphane raconte ses premières années dans la Sarthe, l’équitation à haut niveau, puis la découverte du skate et des vagues qui allaient complètement chambouler son plan de carrière. La découverte du snowboard dans les Alpes, puis celle d’Hossegor au début des années 90, ont fini par le convaincre que c’était autour de ces univers que sa vie tournerait désormais.
En 30 ans Stéphane a fait beaucoup de jobs (manager d’un Boardriders, du Rock Food, d’un shop Volcom, marketing manager chez Omareef/Quiksilver, une aventure dans le cinéma…) qui, sans le savoir, allaient servir de jalons pour la suite de sa carrière et le succès de MC Box Events… et fournir un sacré nombre d’histoires à raconter.

Mais l’événementiel n’est pas le seul domaine dans lequel Stéphane déploie ses activités. Il nous raconte notamment ses expériences réussies dans la restauration et ses ambitions dans le tourisme d’affaires. Tout en gardant un œil sur les grandes manifestations sur lesquelles il intervient – du Paris Dakar au Hell Fest en passant par Roland Garros – et en œuvrant à la réalisation de compétitions de surf, indissociables de la culture glisse, de ses athlètes et de son industrie.
Un épisode passionnant, jetant la lumière sur un personnage-clé de l’industrie plutôt habitué à rester dans l’ombre.
Bonne écoute !

















Retrouvez également cet épisode sur Apple Podcasts, Spotify, Google Podcast et Deezer.
*
Production : EUROSIMA
Animation : Romain Ferrand / Rémi Chaussemiche
Réalisation technique : Fred de Bailliencourt
Photos : Stéphane Robin
Lieu d’enregistrement : Pépinière l’Aérial, MACS

